Samedi 30 avril 2022, à l’initiative de la commune de Larchant en particulier de son maire Vincent Mével, un parking a été inauguré au pied de la Dame Jouanne. De fait, jusqu’ici les grimpeurs et randonneurs se garaient sur l’aire de stationnement en face du Chalet Jobert réservée en principe aux clients de l’auberge.
Manifestation très sympathique autour de la famille de Robert Paragot (alpiniste de renom, titulaire du Piolet d'Or après Walter Bonatti, Reinhold Messner, Doug Scott, …).
Des amis (Françoise Dot du Gersar, Gilbert Detollénaère des AFF, …), de nombreux grimpeurs étaient présents : son fils Christophe Paragot qui est en passe de terminer la remise en état du circuit mauve (splendide, mais très engagé !), Bernard Théret, Oleg Sokolsky, Michel Libert (l’ouvreur de L’Abattoir, La Charcuterie, L’Enclume, … au Cuvier) mais aussi Momo le grimpeur aux pieds nus.
Robert Paragot hormis ses exploits d'alpiniste était un bleausard habitué de la Dame Jouanne et du Cuvier.
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Depuis le 1er janvier 2016 et afin de favoriser le développement maîtrisé des sports de nature, chaque département se doit d’élaborer un PDESI (plan départemental des espaces, sites et itinéraires relatifs aux sports de nature) qui regroupe l'ensemble des activités de pleine nature (escalade, cyclotourisme, randonnée pédestre, spéléologie, etc.). Les modifications apportées aux lieux inscrits à ce plan doivent faire l'objet d'un avis de la commission départementale (la CDESI).
Pour l’Essonne, a défini son nouveau PDESI en janvier 2022 ; à cette occasion un échange a eu lieu entre l’AEV (l’Agence des Espaces Verts de la Région d’Ile de France) et le CoSiRoc dans la perspective de proposer le Bois du Roussay d’Etréchy dans le projet de 2023. Dans cette perspective, une réunion sur site a eu lieu le 16 mars 2022 avec les principaux acteurs sur le site.
Cette forêt accueille un petit site d'escalade très sympathique, adapté pour des escalades d'un niveau abordable (blanc enfant, vert-clair facile, jaune peu difficile et orange assez difficile) mais avec un superbe bloc d'arrivée de l'orange très engagé (7 mètres).
Le compte rendu de cette réunion est ici.
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L’ONF nous informe qu’à compter du 1er avril, les adeptes des nuitées forestières autorisées observeront plusieurs changements concernant les zones de bivouacs autorisées dans le massif de Fontainebleau.
L’ONF informe que l’aire de bivouac officielle de Bois-le-Roi sera dorénavant fermée et n’accueillera plus le public. Une nouvelle aire de bivouac ouvrira sur le secteur de la Faisanderie dans la commune de Fontainebleau. Ce site davantage sécurisé sera plus propice à accueillir tous les visiteurs.
Aujourd’hui, trois aires de bivouacs aménagées en forêt domaniale reçoivent les campeurs : à côté du parking de la Grande Vallée (Bourron-Marlotte), à côté de l’Hippodrome de la Solle et sur le site de la Faisanderie (Fontainebleau).
A l’exception de ces zones officielles autorisées, le camping sauvage reste interdit en forêt, conformément au Code forestier (articles L.141-1 et suivants) comme au statut de Forêt de protection du massif forestier de Fontainebleau.
Voir la lettre d'info de l'ONF ci-jointe.
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Le climat change et n'épargne aucun massif. Certains sont aujourd’hui lourdement touchés par des phénomènes de dépérissement accélérés par le réchauffement climatique. Parasites, maladies, sécheresse… Autant de maux qui touchent les forêts et qui représentent les défis majeurs auxquels les forestiers répondent pour aider les écosystèmes forestiers à évoluer et à devenir les plus résilients possibles.
Si de plus en plus de personnes en saisissent toute l’importance, beaucoup s’interrogent sur l’avenir des forêts et le visage qu’elles auront demain.
Face aux questions qui se posent, l’ONF en Île-de-France en association avec le département de la santé des forêts du ministère de l’agriculture et de l’alimentation, organise ce webinaire sur le changement climatique et l’impact sur les forêts franciliennes, qui figurent désormais parmi les préoccupations fortes de notre société.
Vous êtes invité
jeudi 24 Mars 2022 à 18h
à une visio-conférence sur le changement climatique
et ses impacts sur les forêts franciliennes.
Plus d’informations et inscription en cliquant sur le lien ici .
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Ayant constaté que les mesures dont l’intérêt était de suivre l’évolution du surplomb de calvaire (et, de fait, sa dangerosité potentielle) n’avaient plus été réalisées depuis 2015, le CoSiRoc a suggéré la tenue d'une réunion (31 janvier 2022) dans le but de relancer la surveillance du toit et de fixer un mode de mesure et/ou estimation commun a tous (et avec un mode d’emploi détaillé rédigé).
Etaient présents à cette visite de terrain : pour l'ONF : Morgane Souche, David Cudrax, Mathieux Bernard et pour le CoSiRoc : Oleg Sokolsky, Charles Delèglise et Jean-Yves Derouck.
Au préalable, l’ONF a élagué et supprimé la végétation qui avait repoussée sur le toit du surplomb et empêchait les mesures en ligne directe entre les repères scellés (8 repères toujours opérationnels).
Le Saint-Roch est admiré depuis longtemps, en 2010 Paris-Cham lui consacrait un bel article.
Les précédentes mesures ont jusqu'ici été réalisées à l’aide de décamètres à ruban. Ces mesures étaient précises mais assez longues et peu pratiques. Oleg propose alors de réaliser le suivi comme celui du Bilboquet à l’aide d’un câbletendu sur lequel sont sertis de petits manchons au niveau des repères scellés dans la platière et le toit du surplomb. Il permet :
- La surveillance par un seul intervenant
- La constatation très rapide d’une éventuelle évolution de la position du ou des repères
- La mesure très facile par une règle graduée des éventuels écarts à condition de "graver" (burin) un repère sur les manchons.
Accord général pour cette solution qui permet d’ailleurs la réalisation aisée de nouveaux câble-toises. La réalisation sera faite par une équipe CoSiRoc lors des premiers redoux (le mode d’emploi détaillé et rédigé sera alors fourni).
Dans la suite des mesures jusqu’en 2015 (Oleg) et à leur analyse, il serait plus rapide d’estimer un déplacement vertical éventuel de la lèvre du surplomb directement au lieu de le faire de façon détournée par des mesures de déplacements subhorizontaux. La proposition du scellement d’un repère (discret) dans la partie verticale de la lèvre du surplomb et de la mise en place d’un corps mort, avec repère scellé, enterré dans la couche sableuse (mais non apparent pour éviter le vandalisme) à la verticale de ce point semble convenir à tous. La réalisation de l’ensemble sera réalisé dès la fin de la période d’éventuelles gelées.
Remarques locales finales : les deux séries de Ganivelles sur la platière et sur le replat inférieur semblent bien respectées.
PS : la mesure ce jour des distances entre repères encadrant la diaclase sommitale montre une très grande stabilité de celle ci :
- Barreau ouest : 878 mm soit 0,11% d’élargissement par rapport à la mesure de février 2009 (877 mm).
- Barreau est : 622 mm soit 0,16% de resserrement par rapport à la mesure de février 2009 (623 mm).
Dans les deux cas on est à la limite de l’erreur expérimentale possible.
Pour accéder au site ici ;
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